Des années après que Tumbolski avait clos son enquête
une amie plus jeune lui montra un outil apparu récemment :
Internet. Grâce à cela il put finalement retrouver la trace
d’Astrid Graven. Elle vivait seule dans une maisonnette
en compagnie d’un vieux cheval et d’un petit singe.
Douée d’une force peu commune et non dénuée d’audace,
malgré son âge elle se comportait comme une gamine.
Elle racontait qu’elle était la fille d’un fameux pirate
devenu roi des mers du sud, et mille autres boniments.
Elle n’avait aucun souvenir de son île natale, de la mine
ni de sa disparition, et commençait à perdre la tête.
N’auriez-vous pas espéré une meilleure fin pour ce roman ?